101 ème Division ODST-Chapitre 1: A la croisée des Chemins

Il doit être un peu plus de huit heure, le soleil brille il ne fait pas trop chaud, peut être même un peu frais. Tout à l'air calme dans ce champs ou cette clairière-à vrai dire on ne sait pas trop-, à l'exception de cet homme qui coure depuis bien deux cents mètres. Un ODST à en juger par sa tenue de combat, le souffle haletant le Capitaine Winters continu de courir. Il se dirige vers ce qui ressemble à un petit talus, plus que cinquante mètres à faire. Il monte au sommet au pas de course, essoufflé, et avec surprise découvre de l'autre côté un grognard tout aussi surpris, je dirais même apeuré envoyant le soldat d'élite. Visiblement désarmé le Unggoy lève lentement les mains en l'air, Winters à quelques secondes d'hésitation puis tire, par réflexe plus que par réelle envie...

Le lendemain matin...

-Allez Gamble! Debout, on doit rejoindre le régiment!
-Mmmmh...Pourquoi?
-Le Colonel Sink rassemble tout les officiers du 506. Allez la belle aux bois dormant, on se bouge!
-...Attend encore un peu...
-Comme tu voudras...Winters se saisit alors d'un vase situer sur une étagère proche et en vida le contenu sur le Capitaine Gamble.
-Mais...qu'est ce que...Hey! Mais t'es dégueulasse! J'ai pisser dedans!
-Ho ho, non vraiment? Ha ha merde alors, allez magne toi on est attendu...
-Attendu mon cul ouais...

Quelques instants plus tard les deux Capitaines étaient dans une Jeep qui s'approcher du poste de commandement pour les y déposer.

-Ce que je veux dire c'est que de tout le régiment la Reaper est la seule compagnie en états pour pouvoir tenir tête aux faces de poulpes et leurs sacs à méthane. Alors que si on avaient repris Gorinchem, et je suis le premier à dire que ça aurait été un massacre, le fait est qu'a l'heure actuel on serait de l'autre côté de la Merwede armés jusqu'au dents et que les covenants en ferais dans leurs frocs. Mais bien évidemment le...Hey tu m'écoute quand j'te parle?
-Je suis suspendu à tes lèvres...

Winters descendit de la jeep qui c'était arrêter devant l'entrée du PC et salua le 1er Lieutenant Andrews avant de rentrer à l'intérieur. Où lui, Andrews et Gamble étaient attendus par le colonel Sink, le restes des officiers 506 ème ainsi qu'un colonel des Marines.

-Ha vous voilà enfin! Colonel Stanford je vous présente les Capitaines Winters et Gamble ainsi que le 1er Lieutenant Andrews. Bien, après le désastre de l'opération "Open Garden" où 8 000 Marines sont morts, 140 des Devil Dogs du colonel Stanford ont été fait prisonniers, heureusement ils sont en ce moment même aux mains de la résistance Hollandaise. J'ai donc proposer au Colonel Stanford de dépêcher la Reaper sur place afin de récupérer ses hommes. Colonel si vous voulez bien prendre la suite.
-Bien, merci colonel. Stanford s'approcha d'un plan représentant la région accroché au mur avant de poursuivre. Les point d'exfiltration se trouve ici, ici et là, des barges seront à votre disposition. Le coin est parfaitement sur, j'y suis moi même aller à la nage hier à une heure zéro zéro.Les résistants vous feront le symbole V de la victoire pour vous guidez, ne vous attendez quand même pas à une fusée éclairante...

Winters ne put entendre la suite du briefing, Sink le prenant à part.

-Capitaine je devais avoir votre rapport logistique aujourd'hui, où est il?
-Vous l'aurez demain matin à onze heure monsieur.
-Bien, je veux un inventaire complet de ce que les marines nous laisse: munitions, médicaments, transports...
-Bien monsieur.
-Et le rapport sur les affrontements d'hier je ne l'ai pas non plus.
-Désolé monsieur, je n'ai pas eu le temps
-Hé bien vous l'avez là le temps, allez Winters allez me taper ce rapport.
-Bien monsieur, à vos ordres monsieur.

Le Capitaine partit en direction de ce qui lui faisait office de bureau après avoir claquer un salut à son supérieur. Après avoir effectuer le trajet en sens inverse toujours à bord d'un 'Hog et être de retour dans sa chambre/bureau Winters s'installa posa sa gourde près de lui et réfléchit comment les évènements de la veille avait commencer.

Une bonne parti des hommes de la compagnie étaient présent dans ce qui servais de salle commune à la Reaper, les nouveaux cherchant leurs place et fesant des commentaires sur la guerre. Chose qui ne manquer pas d'amuser les "anciens"...Le capitaine Winters était assis à une table discutant avec deux autres soldats.

-Non mais on aura tout vu, des bleus bites qui donnent des cours de stratégies au remplaçants...
-Tu la dit Malarsky, tu la dit...
-Mouais...Hey y'a pas à dire il est magnifique ce clébard Smocky, comment tu l'a appelé?
-Merci, Depuis hier je l'ai baptiser "Gachette".
-Hmmm ça sonne bien...Gachette...

Soudainement quelque chose coupa court à toutes les conversations, le bruit d'une porte qui s'ouvre violemment, que l'on défonce presque. Un groupe de cinq hommes partit en patrouille revenait, l'un deux était salement toucher.

-Merde posez le là!
-Hey ho ho! Brown! Hey! Brown qu'est ce qui c'est passer?
-Il a prit une grenade Capitaine! On était au niveau du croisement là-bas!
-J'ai rien vu venir, j'ai merder chef!
-Non non, t'en fait pas ça va aller Webster. Doc!!!!!!
-C'est bon je suis là, poussez vous! T'en fait pas Web' ça va, Smocky tiens ça ici!

-Sergent Buck, rassemblez la première section. Armes et munitions uniquement.
-Bien chef. Aller les gars! Première section bougez vous on décolle! Armes et Munitions uniquement!

Après quelques minutes de marche la première section se trouver au pied d'une digue, vous savez ces talus qui pullulent en Hollande, continuant ça marche afin de retouver les responsables de cette attaque. Quand tout à coup le bruit caratéristique d'une mitrailleuse à plasma se fit entendre, tout la section se baissa mais apparement elle n'était pas viser.

-Bordel, sur quoi il peuvent bien tirés? Y'a quoi en bas?
-Le Poste de Commandement, mais il à 5 km de là, pourquoi ils nous dévoilent leur position?
-Parce qu'ils sont moins malin que nous Boule...
-Bougez pas je vais voir ça de plus près.

Sitôt ça phrase terminer le Cap' grimpa sur la digue avec discrétion, arriver en haut il enjamba le sommet tout aussi discrètement puis se laissa glisser de l'autre côté. Il attendit quelques secondes puis traversa pour s'abritait dans le fossé d'en face, là il observa la scène: Quelques grognards s'afféraient sur la friteuse à plasma et deux brutes semblaient discuter. Pour Winters ces derniers semblait remplacer les élites ces derniers temps... Bref il remonta au sommet du talus et indiqua par gestuel militaire au Sergent Buck ,qui transmis aux autres, de venir. Une fois tout le monde dans le fossé Winters commença à placer ses hommes.

-Bien mortiers et ligne d'artillerie derrière. Malarsky, Babe, ici avec la mitrailleuse, vous nous couvrez. Les autres suivez moi.

Quelques mètres plus loin un autre fossé ou les restes d'une tranché perpendiculaire au premier faisait un excellent poste de tir, les hommes de Winters commencèrent à prendre position. Une fois fait le Cap' passa à côté chacun d'eux pour leurs assigner une cible, après qu'il ai repris sa position il bascula son MA5K en coup par coup (afin de gagner en précision) et pris le temps d'ajuster ça cible, la tension était palpable chaque hommes attendais nerveusement l'ordre de tirer. Mais au lieu que ce soit le Capitaine Winters qui donne l'ordre, ce fut son MA5K qui ce fit entendre, moins d'une seconde après tout les autres c'étaient mis à tirer. Les grognards et leurs supérieurs brutes ne mirent pas longtemps à tombés, mais avant que les ODST's ne réalisent leurs victoire des éclairs bleutés se firent voir: d'autre friteuses, sur un talus droit devant à 250-300 mètres! Pris sous le feu les soldats d'élites n'avait pas vraiment d'autres choix que d'arroser la zone avec l'appuie de Malarsky et Babe.

-Mortier feu!! Malarsky, Babe tir de suppression, aller aller aller!!! Hernandez!
-Oui chef!
-Va rejoindre le 1er Peloton et dit leurs que ça chauffe ici!
-Reçu chef!

Malheureusement le pauvre Hernandez n'eut le temps que de faire quelques mettre avant de s'effondrer devant Buck, faucher par une des boules effilées de plasma...

-Hernandez est toucher!

Et ce fut comme ça toute la nuit, les tirs avait cesser au petit matin. L'un des soldats avait réussit à rejoindre le 1er peloton qui venait juste d'arriver.

-Chef le 1er peloton vient d'arriver, avec un mortier et une .30 en renforts...Chef?
-Ha ça ne va pas, ces foutus talus sont des digues donc sous la verdure se sont de solides remblais en pierre et nous nous sommes dans un petit fossé...Dès qu'ils s'en seront rendu compte ils vont nous prendre à revers et nous descendre comme des mouches...On a pas le choix il va falloir donner l'assaut.
-Mais ils sont combien en face?
-Aucune idée, peut être tout un bataillon...Dit aux hommes de se tenir prêts.Tu prendras sur la droite avec dix hommes, toi Lipton tu prends sur la gauche avec dix hommes et moi je passe au milieu avec les dix qui reste. On se couvrira au fumigène rouge, aller exécution.

Au bout de quelques minutes tout le monde était prêt, Winters son fumigène à la main attendu quelques secondes supplémentaires puis balança la grenade et sans attendre qu'elle ne se déclenche partit au pas de course. Un des bleu bites, O'Bryan, voulu l'imiter mais fut attraper aux coller par Malarsky, ce dernier lui fit comprendre d'attendre le signal...quelques secondes après la fumé rouge commença à sortir de son réceptacle, toute le peloton se mit à courir vers la digue, le Cap' leur avait bien mis 50-75 mètres.


Il doit être un peu plus de huit heure, le soleil brille il ne fait pas trop chaud, peut être même un peu frais. Tout à l'air calme dans ce champs ou cette clairière-à vrai dire on ne sait pas trop-, à l'exception de cet homme qui coure depuis bien deux cents mètres. Un ODST à en juger par sa tenue de combat, le souffle haletant le Capitaine Winters continu de courir, le reste du 1er peloton de la compagnie Reaper sortant à peine du nuage de fumé rouge derrière lui. Il se dirige vers la digue, plus que cinquante mètres à faire. Il monte au sommet au pas de course, essoufflé, et avec surprise découvre de l'autre côté un grognard tout aussi surpris, je dirais même apeuré envoyant le soldat d'élite. Visiblement désarmé le Unggoy lève lentement les mains en l'air, Winters à quelques secondes d'hésitation puis tire, par réflexe plus que par réelle envie, pivote sur sa droite et commence à tirer sur les autres covenants présent au pieds de l'autre digue. Il est rapidement rejoint par le reste du peloton, le tir aux lapin commence, c'est la panique chez les covenants, la bérézina, la débandade. Pourtant ils étaient largement en surnombre, mais la panique les pousser à fuir. Les ODST's faisaient feu de tout bois, ne laissant aucun chance de riposte au quelques jiralhanaes qui le tenter...Au bout d'un quart d'heure la zone était sous contrôle, une partit du 506 ème s'était déplacer pour ramener les prisonniers, le Capitaine Gamble rejoignis Winters.

-Chapeau, ils étaient tout une compagnie en face...pour seulement deux blessé, tu m'impressionne...
-Un tué aussi.
-Qui ça?
-Hernandez...
-Et bien une trentaine de morts, une centaines de blessés et cinquante prisonniers sans compter ceux qui survivront à leurs blessures...C'est pas mal pour Hernandez.

Forts de leur succès face à cette ennemi largement en surnombre les homme du 506 ème Régiment d'infanterie d'Assaut Aéroportée repartirent vers leurs PC en chantant Blood on the Rivers. Peu de temps après leurs retour ils apprirent que la 101 ème était réaffecter à la prise de Heindoven... une opération de grande envergure c'est tout ce qu'ils savaient, tant qu'ils étaient largués sur leurs DZ tout se passerait bien, après tout ce sont des ODST's...

Voilà le premier chapitre est terminer, vous pouvez dire ce que vous en pensez à la suite.

PS: si vous cliquez sur "Blood on the Rivers", vous pourrez l'entendre sur Deezer

Je t'es fais part de ce que j'en pensais par MP, donc.... chapeau bas!