Premier Contact

Cela faisait maintenant près de 2 semaines que le détachement du Commandant 'Shalumee naviguais dans le sous-espace à la rencontre du Groupe de Combat humains dépêché par l'UNSC. Les deux parties avait convenues d'un point de ralliement afin de se décider sur la marche à suivre, à savoir: se concentrer sur la recherche de la Corvette et d'éventuels survivants ou partir à la rencontre de ce mystérieuse ennemi....

Pour Zakthar le choix été évident, si la Corvette n'émettais aucun signal de détresse d'aucune sortes c'est tout simplement qu'elle avait été détruite, équipage compris.... Malgré tout Zak' se sentais coupable, certes l'équipage du Religious Silence était l'un des plus expérimenté de la flotte mais cela n'aurait pas du les priver d'une escorte, aussi légère fusse-t-elle...

L'officier de pont tira le Commandant de ses réflexions en lui signalant que le Forgive Reach et son détachement venait d'atteindre le point de rendez-vous.


HRP: Oui c'est court, mais ce n'est qu'une forme d'intro, tout comme Sean devra faire en suivant pour l'UNSC (à laquelle pourra répondre Jonathan), et je me chargerais de celle des Covi' (la aussi Chacall pourra y répondre). /HRP

Le colonel Sean Dominguez se trouvait sur le pont du Flaming Skull, contemplant la noirceure abyssale de l'espace, constellée de tâches imperceptibles et multicolores. A ses côtés se tenait le Vice-Amiral Kirk Preston, dirigeant du petit contingent armé qui attendait patiemment la venue des alliés Magkeillis au point de rendez-vous convenu depuis maintenant plusieurs semaines.

Dominguez, les mains jointes dans le dos, gardait un regard fixe et contrarié sur le vide. Le vide. Cette notion lui était insoutenable, à lui le terrien pur. Cela faisait maintenant plusieurs jours qu'ils étaient ici en attente, et le fait de rester cloitré dans cette boite de métal pourtant immense le mettait mal à l'aise. Depuis quelque minutes, le colonel et le Vice-Amiral se tenaient côte à côte, sans dire un mot. Alors que le pont et le poste de commandement bourdonnaient d'activité, une bulle de silence semblait s'être créée, et les deux hommes, dans l'expectative, continuaient à fixer l'espace sans broncher. Tout à coup, un éclair déchira la trame du visible. Du néant jaillit les courbes élancées d'un vaisseau Magkeilli, nimbé d'une aura bleue électrique. L'émergence du sous-espace était probablement l'un des spectacles les plus saisissants de tout l'univers.

-Colonel, allez prévenir vos hommes qu'il y a du mouvement.
-Bien, Monsieur.

Le colonel Dominguez s'écarta de la gigantesque baie vitrée et prit la direction des quartiers où patientaient quelques éléments de la 99ème ODST, emmenés pour l'occasion.

[...]

Plusieurs ascensceurs plus bas et quelques couloirs plus loin, le colonel parvint enfin dans les quartiers de ses ODST. La plupart étaient dans leurs minuscules cabines, chacun couchés sur leurs banquettes spartiates. Tout en avançant sans s'arrêter dans le couloir, Sean ouvrait porte après porte, en éructant un rassemblement:

-Allez, couilles de loups! On se lève! Rassemblement dans le couloir, en rangs! Les aliens sont là! Vermeer! Je vous veux à l'extrêmité gauche du rang! Allez allez allez!

Ramirez dormais comme a son abitude sur sa petite couchette, il se remémorai ses combats passé, son entré dans la 99éme et surtout il fit une fixation d'au moins une bonne petite heure déja quand le bruit dans portes dans le couloir le réveilla. Il ne se lava pas, réprimant son tempérament de brute sans cervelle pour pouvoir replonger dans ce sommeil d'où il venait. Sa chambre, qui était tout au fond du couloir le lui permettait, chambre qui, au passage, était très petite ne comportant qu'un ridicule meuble ou ranger ses armes dont il ne se séparrait jamais: "Je veut être prêt à toute éventualité" disait-il. Le peu de temps qu'il avait réussi a redormir fut encore une fois trop court alors que sa porte s'ouvrit dans un grand bruit et son colonel hurla au rassemblement dans le couloir.

-Pfiou quel casse-couilles ces aliens ils peuvent pas me laisser dormir cinq minutes !

Il se leva donc et dans une démarche rapellant les jeunes hippies des années 1960, se traina en direction de son armoire pour y récuperrer son matos comme il l'appelait; Puis il adopta une démarche plus martiale lorsque le colonel revint voir a sa porte si il "se bougeait le cul " comme il disait. Arrivé dans le couloir, Jonathan s'apperçu qu'il était le dernier a se montrer, le soldat eu tout de suite la même pensée pour tout ses "camarades": il ne va pas y avoir a acheter de la bouffe pour eux ils ont déja la bouche pleine. puis se mis au garde a vous commes out les autres soldats présent dans ce couloir.








PS: Juste comme sa c'est qui le mj dans cette partie?